Vacances, le plus beau mot de la langue française ! Du moins c'est ainsi que je le ressens quand je n'ai plus à me lever à cinq heures du matin et que je peux faire la grasse matinée jusqu'à sept heures. Le rêve. Pour fêter ça, nous somme allés sur Petite-Terre où nous n'étions jamais retournés depuis notre arrivée.
Pour y aller en voiture, il faut prendre une barge spéciale assez précieusement dénommée "amphidrôme". Ce coup-ci, mon chapeau ne s'est pas envolé. C'est un modèle musulman, mieux adapté au vent.
En route pour les plages de Moya, célèbre lieu de ponte des tortues. Ces plages sont d'anciens cratères à fond plat ce qui leur donne de magnifiques formes circulaires. Juste à côté, il faut tout de même marcher et grimper un bon moment sous un soleil redoutable, un autre ancien cratère plein d'une eau verte et sulfureuse, le Dziani Dzaha.
Un dernier coup d'oeil à la carte et c'est déjà le soir.
Retour par la barge à la tombée de la nuit.
Cela me donne envie de visiter Hong Kong.
C'est toujours un immense plaisir de te lire. Ton style a l'élégance et la couleur de tes images, qui me laissent rêveur...
RépondreSupprimerAmitiés de la Métropole (j'aurais jamais cru qu'un jour je dirais ça !)
René
Pour moi c'est pareil. J'ai du mal à me concevoir en extra-métropolitain. En voyageur, certainement, mais extra-métropolitain ! Quelle extravagance !
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